Avis des décès
carte de mortuaire
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Marie Henriëtte Anne, in het Nederlands vaak Maria Hendrika genoemd (Pest, 23 augustus 1836 – Spa, 19 september 1902), hertogin van Brabant, prinses van België, aartshertogin van Oostenrijk, was de tweede koningin der Belgen.
Zij was de dochter van aartshertog Jozef van Oostenrijk en Maria Dorothea van Württemberg en de kleindochter van keizer Leopold II en Maria Louisa van Bourbon. De Franse koningin Marie Antoinette (echtgenote van koning Lodewijk XVI) was haar oudtante. Via haar moeder was ze familie van hertog Frederik Eugenius van Württemberg. En omdat haar moeder een kleindochter was van prinses Carolina van Oranje-Nassau was Maria Henriëtta ook een nakomeling van Willem IV, erfstadhouder der Verenigde Nederlanden.
Op 22 augustus 1853 trad zij in het huwelijk met de Belgische kroonprins Leopold, de latere koning Leopold II. Het huwelijk was gearrangeerd door diens vader, koning Leopold I, die op deze wijze hoopte de banden met Oostenrijk te verstevigen. Het was geen gelukkige verbintenis en na de dood van hun zoon, kroonprins Leopold, begon hun huwelijk te verzuren. Na de geboorte van de jongste dochter Clementine, ontstond er een breuk tussen het echtpaar.
Uit het huwelijk kwamen vier kinderen voort:
Omdat hun enige zoon Leopold op 9-jarige leeftijd verongelukte, werd haar zwager Filips de aangewezen troonopvolger. Diens zoon Albert zou uiteindelijk in 1909 de troon overnemen. De koningin was ongelukkig aan het Belgische hof en toen de koning naar een maîtresse ging, trok de vorstin, samen met een deel van haar hofhouding, naar haar buitenverblijf in Spa, waar ze vanaf 1895 definitief woonde. Daar kon ze rustig alleen in het kuuroord verblijven. De vorstin was een uitstekende amazone en zou volgens sommigen het talent hebben gehad om zelf paarden te dresseren.[bron?] De koningin stierf alleen en ongelukkig in haar kasteel te Spa aan de gevolgen van een hartaanval. Zij werd begraven in de Onze-Lieve-Vrouwekerk te Laken.
Marie Henriette Anne de Habsbourg-Lorraine, née à Pest, alors ville de l'Empire d'Autriche (actuellement Budapest, en Hongrie) le 23 août 1836, et morte à Spa (Belgique) le 19 septembre 1902, est la fille de l'archiduc-comte palatin de Hongrie Joseph d'Autriche et de Dorothée de Wurtemberg1. Archiduchesse d'Autriche et princesse palatine de Hongrie, elle épouse en 1853 Léopold de Saxe-Cobourg, duc de Brabant, prince de Belgique, duc de Saxe et devient, en 1865, après l'accession de ce dernier au trône sous le nom de Léopold II, la deuxième reine des Belges.
Petite-fille de l'empereur Léopold II du Saint-Empire, l'archiduchesse est la fille de l'archiduc Joseph, palatin de Hongrie et de la princesse Dorothée de Wurtemberg, une cousine du tsar Nicolas Ier de Russie.
Marie-Henriette de Habsbourg-Lorraine est la demi-sœur de l'archiduc Étienne (« Stephan ») qui, après avoir succédé à son père comme comte palatin de Hongrie en 1847, soutiendra le désir d'indépendance des Hongrois pendant la révolution de 1848, et sera disgracié et exilé par l'empereur François-Joseph Ier. En revanche son frère l'archiduc Joseph d'Autriche prendra le parti de l'empereur.
L'archiduchesse Marie-Henriette a pour sœur aînée l'archiduchesse Élisabeth, veuve à 19 ans du prince Ferdinand de Modène dont elle avait eu une fille et qui inspira au jeune empereur le désir de la prendre pour femme. L'archiduchesse Sophie, mère de l'empereur, s'étant opposée à l'union de son fils et souverain, avec la sœur d'un rebelle, veuve et mère de surcroît, l'archiduchesse Élisabeth fut rapidement remariée à l'un de ses cousins de la branche de Teschen. La fille que l'archiduchesse avait eu du prince de Modène, l'archiduchesse, Marie-Thérèse, princesse de Modène sera la dernière reine de Bavière, tandis que sa cadette, Marie-Christine d'Autriche épousera le roi Alphonse XII d'Espagne et sera régente d'Espagne pour son fils, Alphonse XIII.
Une autre nièce de la reine Marie-Henriette, Marie-Dorothée de Habsbourg-Lorraine, épousera le duc d'Orléans, prétendant au trône de France.
Ses filles cadettes épouseront l'une, le Kronprinz d'Autriche-Hongrie, la benjamine le prince Napoléon (après la mort de ses parents).
Ainsi, la reine Marie-Henriette aura-t-elle été la belle-mère du Kronprinz Austro-hongrois et du prince Napoléon, deux princes promis à un trône prestigieux mais qui ne régnèrent pas.
Cavalière émérite qui parcourt la plaine hongroise, passionnée de chevaux au point de leur prodiguer elle-même des soins au mépris des convenances de son époque et de son milieu, l'archiduchesse Marie-Henriette est pour l'heure une jeune fille pleine de vie.
En 1853, Marie-Henriette fait un mariage de raison avec l'austère Léopold, duc de Brabant2, héritier du trône de Belgique. La jeune monarchie belge, issue d'une révolution qui avait mis sur le trône un roi luthérien, espère alors pour son second roi une épouse issue d'une dynastie prestigieuse et catholique, lui permettant d'entrer pour de bon dans le cercle fermé des têtes couronnées. Après les révolutions de 1848 qui avaient ébranlé les monarchies européennes, la Maison de Habsbourg-Lorraine est toute désignée. De même, quatre ans plus tard, la sœur du prince héritier épousera l'archiduc Maximilien, frère de l'empereur d'Autriche.
En attendant, les caricaturistes comparent le mariage du prince héritier et de l'archiduchesse à l'union d'un « palefrenier » et d'une « religieuse » – la « religieuse » étant le duc de Brabant.
L'harmonie première d'un couple si mal assorti ne peut durer. Si le roi Léopold reste un homme d'une grande prestance, il garde une froideur toute luthérienne dont souffrit sa défunte épouse la regrettée reine Louise d'Orléans. Le duc de Brabant, adolescent timide et capricieux, ne fait aucun effort pour s'accorder avec son épouse et, son austérité se muant en un cynisme méprisant et égoïste, il se livre bientôt sans pudeur à l'adultère.
Pourtant, tout s'annonçait pour le mieux pour le couple princier : après une fille prénommé Louise comme sa défunte grand-mère était né l'héritier désiré, le petit Léopold. En 1857, la princesse Charlotte, sœur du duc de Brabant, avait épousé l'archiduc Maximilien, frère de l'empereur d'Autriche et comme Marie-Henriette, membre de la Maison de Habsbourg-Lorraine. Les liens entre la nouvelle dynastie Belge et l'ancienne Maison d'Autriche se resserraient apportant à la première la légitimité qui lui faisait défaut, à la seconde une alliance sans risque avec le monde moderne. En 1864, l'archiduc Maximilien, époux de Charlotte de Belgique, était proclamé empereur du Mexique : le sang des Saxe-Cobourg, après avoir colonisé les trônes d'Europe, étendait son influence jusqu'en Amérique !
Le roi Léopold Ier meurt l'année suivante, en 1865. Le duc de Brabant, alors âgé de trente ans, monte sur le trône et règne sous le nom de Léopold II. Premier affront pour la jeune reine, lors de sa prestation de serment, le souverain refuse que son épouse, qui est pourtant la mère de ses trois enfants, dont le prince héritier, soit assise près du trône. Marie-Henriette sera placée parmi les spectateurs du premier rang lors des cérémonies.
En 1866, la grand-mère du roi, l'ex-reine des Français Marie-Amélie de Bourbon-Siciles, qui avait encore quelque influence morale sur sa famille, meurt en exil en Angleterre.
Le prince héritier
Léopold sur son lit de mort. Illustration parue dans un journal russe. 1869.
1867 est une année tragique : la cour de Bruxelles est affectée par l'exécution de Maximilien, l'empereur du Mexique, frère de l'empereur François-Joseph Ier d'Autriche, et par les troubles du comportement de l'impératrice Charlotte, l'épouse de Maximilien et la sœur du roi Léopold II. Malgré son immense richesse, l'impératrice finit par être recluse dans son Château de Miramare près de Trieste. Après une visite à sa belle-sœur, la reine Marie-Henriette se rendra à Vienne auprès des siens pour négocier le retour de l'infortunée impératrice, maltraitée par ses serviteurs, dans sa patrie d'origine.
Les bons offices de la souveraine ne rendent pas le couple royal de Belgique plus uni. En janvier 1869, le décès, à l'âge de neuf ans, de leur fils unique, Léopold, duc de Brabant et prince héritier, s'il constitue une véritable tragédie pour les souverains – pour des raisons affectives chez la reine, mais également politiques chez le roi –, amplifie la mésentente des époux. L'enfant a été emporté par une pneumonie, après être tombé dans un bassin du parc. Le roi, désespéré, tient sa femme pour responsable de la mort de l'enfant[réf. nécessaire].
L'année suivante éclate la guerre franco-prussienne et, si le souverain belge parvient à sauvegarder l'indépendance de son pays et la Belgique est épargnée, la reine se dévoue aux soins des blessés.
La princesse Stéphanie, âgée de six ans, contracte le typhus au grand dam de ses parents, qui craignent alors de voir mourir un second enfant. La petite princesse n'est sauvée que par les soins d'un médecin ardennais inconnu, mais à qui le couple royal avait accordé ses entrées.
Présentation du cadeau à la Reine lors des noces d'argent du roi Léopold II et de la reine Marie-Henriette, Palais royal (Bruxelles), le 22 août 1878.
Après un bref rapprochement dans l'espoir d'engendrer un second fils – mais c'est une fille qui naîtra en 1872 : la princesse Clémentine –, le couple fait désormais chambre à part.Le roi, n'ayant plus de fils, établit la loi salique et cherche à déshériter ses filles[réf. nécessaire] puis se passionne pour la colonisation du Congo.
Aigrie, la reine se drape dans sa dignité d'épouse bafouée et se retire à Ostende et à Spa. Elle se consacre à l'éducation de ses filles, qu'elle élève comme il est de mise à l'époque pour les princes, c'est-à-dire « à la dure » – bains froids, etc. – et dans le respect strict du devoir. [réf. souhaitée] Ayant perdu sa joie de vivre, elle devient une souveraine solitaire et très discrète. Elle s'entoure d'artistes et s'adonne à la musique, à la peinture et à l'équitation, mais aussi à des œuvres charitables.
C'est ainsi que Louise épouse en 1875 son richissime cousin Philippe de Saxe-Cobourg-Kohary, fils du non moins richissime prince Auguste et de la princesse Clémentine d'Orléans et neveu du roi consort de Portugal. Le couple fait les beaux jours de la cour de Vienne. En 1881, le prince et la princesse deviennent les beau-frère et belle-sœur de l'archiduc-héritier. Leur place à la cour en est renforcée. C'est un couple en vue ; Leur mésentente conjugale est de plus en plus connue du public et porte ombrage à la famille impériale. En effet, Philippe se révèle pervers, tyrannique et débauché. Louise se venge en dépensant outrancièrement la fortune de son mari et en le trompant ouvertement. Avec l'aval de l'empereur, le prince finit par faire interner sa femme sous prétexte qu'elle s'est réfugiée dans les bras d'un chevalier servant. Louise s'enfuit, divorce en 1906, ce qui à l'époque fait scandale, et épouse son « sauveur ». Il sera épargné à la reine, morte en 1902, de connaître cette humiliation.
Stéphanie fait l'orgueil de ses parents en contractant, en 1881, l'union la plus prestigieuse de son époque avec l'archiduc héritier d'Autriche et de Hongrie Rodolphe, fils unique de l'empereur François-Joseph Ier et de l'impératrice (la fameuse « Sissi »). La reine Marie-Henriette ne peut que se réjouir que sa fille épouse un membre de la Maison de Habsbourg-Lorraine. Cependant, le mariage est prématuré. Après ses premières et très difficiles couches, et la naissance d'une fille, l'archiduchesse Elisabeth-Marie d'Autriche – la future « archiduchesse rouge » –, Stéphanie devient stérile. Atteint d'une maladie vénérienne qu'il a transmise à son épouse, Rodolphe comprend qu'il ne pourra donner d'héritier au trône, et le couple, dont les centres d'intérêt divergent, ne s'entend pas. L'archiduc s'abandonne à la débauche, en compagnie notamment de son beau-frère Philippe de Saxe-Cobourg, avant de mourir tragiquement à Mayerling, en 1889. Veuve à vingt-quatre ans, Stéphanie se retire en Hongrie et contracte en 1900, une union morganatique qui lui aliène les familles impériale d'Autriche et royale de Belgique.
En 1891, le prince Baudouin, fils de Philippe, comte de Flandre (frère de Léopold II), et second dans l'ordre de succession au trône après son père, en qui on voyait le futur époux de Clémentine, meurt prématurément à l'âge de vingt et un ans, causant dans le monde un choc et une peine cruellement ressentis.
Entre-temps, lasse d'un mari volage, la reine Marie-Henriette, aigrie, [réf. souhaitée] abandonne régulièrement la cour de Bruxelles pour venir se détendre dans la ville thermale de Spa, laissant le rôle de première dame à sa fille cadette la princesse Clémentine. À partir de 1895, elle s'installera définitivement dans la Villa royale, acquise en 1894, et aura à son service Auguste Goffinet (1857-1927).
Ses nièces, les filles du comte de Flandre, se marient : l'une en Allemagne et l'autre en France. Joséphine épouse en 1894 le prince Charles-Antoine de Hohenzollern. Henriette se marie deux ans plus tard avec le prince Emmanuel d'Orléans, « duc de Vendôme », fils du duc d'Alençon et de la duchesse née Sophie-Charlotte en Bavière, la plus jeune sœur de l'impératrice d'Autriche, qui mourra en 1897 brûlée vive au cours de l'incendie du Bazar de la Charité. L'impératrice « Sissi », ex-belle-mère de Stéphanie, meurt assassinée à Genève l'année suivante.
En 1900, Stéphanie se remarie. Au grand dam de la famille, elle porte son dévolu sur un gentilhomme hongrois qui n'est pas de sang royal, le comte de Lonyay. Malgré ce mariage inégal, Stéphanie sera enfin heureuse. Mais 1900 est avant tout l'année du mariage du neveu de Marie-Henriette, second dans l'ordre de succession au trône jusqu'à la mort de son père en 1905, le prince Albert. Celui-ci épouse par inclination une nièce du roi de Bavière, filleule de la défunte impératrice, la duchesse Élisabeth en Bavière. La prince et sa future épouse se sont rencontrés aux obsèques de la duchesse d'Alençon, victime héroïque de l'incendie du Bazar de la Charité. La reine accueille avec chaleur cette nièce mélomane et intelligente. Il y aura enfin un couple heureux dans l'histoire des rois des Belges. Dès l'année suivante, la jeune princesse donne le jour à un héritier, le futur Léopold III de Belgique. L'avenir de la dynastie belge est assuré.
La reine Marie-Henriette meurt à Spa en 1902 à l'âge de soixante-six ans. La messe de funérailles est célébrée dans l’église décanale Notre-Dame de Spa. Son corps est inhumé dans la crypte royale de l'église Notre-Dame de Laeken.
Les années suivantes sont obscurcies par les querelles d'héritage et les déboires conjugaux des filles du roi et de la défunte reine qui sont portées à la connaissance du public3.
Le roi Léopold II meurt en 1909 après avoir épousé religieusement, cinq jours avant son décès, sa dernière maîtresse, la baronne de Vaughan.
Marie Henriette Anne von Österreich VA (* 23. August 1836 in Pest, Ungarn; † 19. September 1902 in Spa) war ein Mitglied des Hauses Habsburg-Lothringen und durch Heirat von 1865 bis 1902 Königin der Belgier. Sie stammte aus dem ungarischen Zweig des Hauses Habsburg-Lothringen, der auf Erzherzog Joseph († 1847), den siebten Sohn von Kaiser Leopold II., zurückging.
Marie Henriette wurde als jüngste Tochter des Erzherzogs Joseph Anton von Österreich, Palatin von Ungarn, und dessen dritter Frau Maria Dorothea von Württemberg geboren. Sie wuchs zusammen mit ihren Geschwistern unbeschwert in Ungarn auf. Die Erzherzogin liebte Pferde über alles und war sehr sportlich. Sie interessierte sich für Musik und Malerei, komponierte später sogar eine Oper: Wanda.
Als Marie Henriette 17 Jahre alt war, wurde aus politischen Gründen ihre Vermählung mit dem ein Jahr älteren Kronprinzen von Belgien und Herzog von Brabant, Leopold, beschlossen. Dessen Vater, König Leopold I., fürchtete Annexionsbestrebungen Napoleons III. und suchte daher eine Annäherung an andere europäische Großmächte. Die Eheverbindung mit den Habsburgern sollte die Wahrung der belgischen Souveränität sichern helfen und außerdem die neu errichtete belgische Monarchie fester an die etablierten katholischen Dynastien Europas anbinden. Marie Henriettes Heirat per procurationem fand am 10. August 1853 im Schloss Schönbrunn in Wien statt. Am 20. August kam sie in Belgien an. Engelbert Sterckx, Erzbischof von Mecheln und Primas der katholischen Kirche Belgiens, zelebrierte am 22. August die eigentliche Hochzeit, die in der Kathedrale der heiligen Gudula in Brüssel vonstattenging. Am folgenden Tag veranstalteten die Zünfte und Künstlergenossenschaften Brüssels zu Ehren des Brautpaars einen prächtigen historischen Aufzug.
Die Ehe Marie Henriettes mit Leopold war von Anfang an sehr unglücklich. Die lebhafte, heitere und freiheitsliebende Erzherzogin passte charakterlich nicht zum steifen und kühlen, sich reserviert zeigenden belgischen Kronprinzen. Fürstin Melanie Metternich, dritte Gattin des führenden österreichischen Staatsmanns Klemens Wenzel Lothar von Metternich, sagte unter Bezugnahme auf Marie Henriettes Pferdeliebe lachend, dass sich hier ein Husarenleutnant mit einer Nonne vermähle; mit Letzterer sei aber der Herzog von Brabant gemeint. Um einen Thronerben zu bekommen, lebte Marie Henriette dennoch anfangs mit ihrem Gemahl zusammen und begleitete ihn beispielsweise 1855 auf einer mehrmonatigen Orientreise.
Das Paar bekam vier Kinder:
- ∞ Erzherzog Rudolf von Österreich
- ∞ Elemér Edmund Graf Lónyay von Nagy-Lónya und Vásáros-Namény
- Clementine (* 30. Juli 1872; † 8. März 1955) ∞ das Oberhaupt der Bonapartes, Prinz Napoléon Victor Jérôme Frédéric Bonaparte (1862–1926)
Nach dem Ableben König Leopolds I. († 10. Dezember 1865) bestieg Marie Henriettes nun 30-jähriger Ehemann als Leopold II. den Thron von Belgien. Er lehnte eine Teilnahme seiner Gattin an den Krönungsfeierlichkeiten ab, obwohl sie ihm bereits drei Kinder geboren hatte.
Politisch konnte Marie Henriette keinen Einfluss ausüben und nahm nur repräsentative Pflichten wahr. Immerhin wurde sie 1867 mit der Heimführung ihrer mental gestörten Schwägerin, der Kaiserin Carlota von Mexiko, beauftragt, deren Gatte Maximilian, Bruder des österreichischen Kaisers Franz Joseph, am 19. Juni 1867 in Mexiko erschossen worden war. Marie Henriette begab sich nach Wien und handelte die Heimkehr der unglücklichen Kaiserin aus, die sie auf ihrem Rückweg vom bei Triest gelegenen Schloss Miramare nach Belgien begleitete.
Das Verhältnis Leopolds II. zu seiner Gattin war sehr konfliktträchtig, auch weil er offen viele außereheliche Affären unterhielt. Marie Henriette wurde aufgrund dieser dauernden Erniedrigungen kalt und unzugänglich. Ihre Kinder wurden sehr streng und mit Disziplin erzogen, vielleicht weil sie glaubte, durch eine entbehrungsreiche Kindheit könne das Leben leichter gemeistert werden. Als 1869 ihr einziger Sohn, Kronprinz Leopold, im Alter von nur neun Jahren an einer Lungenentzündung starb, nachdem er in einen Teich gefallen war, zerbrach Marie Henriette. Auch Leopold II. war schwer getroffen, und sein Verhältnis zu seiner Gattin verschlechterte sich weiter. Die Königin wurde 1872 nochmals schwanger, aber der heiß ersehnte männliche Nachwuchs blieb aus. Sie gebar wieder ein Mädchen, Clementine. Damit war ihre Ehe endgültig gescheitert. Ihre Leidenschaft galt nun, sehr zum Missfallen ihres Gatten, ihren ungarischen Pferden. Die im August 1878 mit viel Pomp gefeierte silberne Hochzeit des belgischen Königspaares änderte nichts an seiner Entfremdung.
Neben Pferden mochte Marie Henriette Hunde und Vögel, insbesondere Aras; ferner arrangierte sie gerne Blumendekorationen in ihren Räumlichkeiten. Sie hatte aber nicht nur eine große Tierliebe, sondern widmete sich als sehr religiöse Frau auch karitativen Projekten. Während des Deutsch-Französischen Kriegs von 1870/71 half sie beim Verbinden von Verwundeten, die mit Zügen nach Belgien transportiert worden waren. Sie förderte auch Musiker, Künstler sowie das Theaterleben und war eine Verehrerin Richard Wagners. In ihrem Schloss in Laeken ließ sich Marie Henriette, die gut Klavier und Harfe spielte, ein Theatrophon einbauen und konnte so daheim den im königlichen Brüsseler Opernhaus aufgeführten Gesangsdarbietungen lauschen. Auch als Amateurmalerin betätigte sie sich; so schuf sie etwa Aquarelle.
Marie Henriette zog sich 1895 nach Spa zurück, wo sie eine in einem Park gelegene Villa gekauft hatte. Zu ihrer allein in Belgien verbliebenen Tochter Clementine, die nun die repräsentativen Pflichten übernahm, hatte sie ein kühles Verhältnis. Die Königin stand aber mit ihrer angeheirateten Tante Anna, Gräfin von Meran (geborene Plochl), der Frau ihres Onkels Johann in Briefkontakt.[1] Sie frönte der Gartenarbeit, war weiterhin karitativ aktiv und ging ihren künstlerischen und musikalischen Interessen nach. Bisweilen erschien sie auf Reitturnieren. Zu ihren Vertrauten gehörte ihr Neffe, Prinz Albert.
Die Sorgen wegen der unglücklichen Ehen ihrer beiden älteren Töchter und ihre langjährigen eigenen Eheprobleme hatten Marie Henriette vorzeitig altern lassen. Seit 1899 wurde sie immer kränker, lebte nun völlig isoliert und hatte zu ihrem Gatten und ihren Töchtern kaum noch Kontakt. Einsam starb sie am 19. September 1902 nach einem schweren Asthmaanfall und Herzkrämpfen mit 66 Jahren an einem Herzschlag und wurde in der königlichen Krypta der Liebfrauenkirche in Brüssel beerdigt. Leopold II. hatte seinen Töchtern verboten, Marie Henriette in ihren letzten Stunden zu besuchen und an ihrer Beisetzung teilzunehmen.
Marie Henriette of Austria (Marie Henriette Anne; 23 August 1836 – 19 September 1902) was Queen of the Belgians as the wife of King Leopold II.
Marie Henriette was one of five children from the marriage of Archduke Joseph, Palatine of Hungary, and Duchess Maria Dorothea of Württemberg. Marie Henriette was a cousin of Emperor Ferdinand I of Austria, and granddaughter of Leopold II, Holy Roman Emperor, through her father.
Een bidprentje (gedachtenisprentje of doodsprentje) is een klein prentje dat binnen de Katholieke Kerk als herinnering aan bepaalde gebeurtenissen zoals doopsel, eerste communie, vormsel, huwelijk, priesterschap en in het bijzonder bij een overlijden wordt uitgegeven. Behalve de religieuze afbeelding, staat op voor- of achterzijde meestal ook een gebed. Indien het wordt uitgegeven naar aanleiding van een overlijden worden de naam, titel, geboorte- en sterfdag van de overledene vermeld. Het gebruik van een bidprentje komt bijna uitsluitend voor onder katholieken.
De bidprentjes worden tijdens de uitvaart aan de aanwezigen uitgedeeld. Daar waar vroeger op dit soort bidprentjes meestal een heilige werd afgebeeld in zwart-wit maar vaak ook in kleur, wordt nu ook vaak een kruis of de overledene zelf afgebeeld.
Een veelvoorkomend formaat voor bidprentjes is het A7-formaat, een formaat dat hiervoor zeer lang de standaard was. De oudste bidprentjes hebben enkel een voor- en achterzijde. Later werd een dubbelgevouwen A6-formaat gebruikt, waarbij de afbeelding aan de buitenkant stond en de gebedstekst binnenin. Recent wordt echter meer en meer gebruikgemaakt van een vierkant formaat (bv. 10cm x 10cm).
Deze bidprentjes worden vaak in een missaal gestoken, zodat men tijdens een Mis al eens kan bladeren en zo deze personen in herinnering roepen. Zo komt het vaak dat deze bidprentjes langer bewaard werden dan doodsbrieven. Ze zijn dan ook een goede vertrekbasis bij het opstellen van een stamboom, maar de informatie moet met enige omzichtigheid gebruikt worden omdat er al eens fouten of onnauwkeurigheden (bv. in de naam van een persoon) voorkomen.
Bidprentjes maken vaak onderwerp uit van ware verzamelwoede. In Vlaanderen werd de collectie van pastoor Leopold Slosse die om en nabij het miljoen bidprentjes bedraagt, aangekocht door de stad Kortrijk. Deze collectie kan geraadpleegd worden in het Stadsarchief van Kortrijk.